ANTIATLAS DES FRONTIÈRES
L’antiAtlas des frontières est un collectif de chercheurs·euses, d’artistes et experts, qui articule recherche et création artistique pour interroger les mutations des frontières et des espaces des sociétés contemporaines : lire le Manifeste d’antiAtlas des Frontières.
Ce site constitue une plateforme de veille et de communication autour des événements, publications, actualités et œuvres art-science autour des mutations des frontières au 21e siècle. Il présente nos actions : les colloques, séminaires et expositions que nous organisons, les expérimentations que nous menons – et un ensemble de documents : articles publiés, vidéos (interviews, colloques, séminaires) et une liste d’œuvres de référence.
COORDINATION
Cédric Parizot, chargé de recherche au CNRS, anthropologue, Institut de Recherche et d’Études sur le Monde Arabe et Musulman (IREMAM, UMR7310 – AMU/CNRS), Aix en Provence.
Jean Cristofol – philosophe, ancien enseignant à l’École Supérieure d’Art d’Aix-en-Provence (ESAAix) et membre du laboratoire Perception, Représentations, Image, Son, Musique (PRISM – AMU/CNRS), président de l’association antiAtlas éditions.
DESIGN
Le design de ce site a été créé par Thierry Fournier, artiste et commissaire d’exposition indépendant.
MEMBRES DU COLECTIF
Membres actuels
Anne-Laure Amilhat Szary – géographe, Directrice du Laboratoire Pacte (UMR5194 Université de Grenoble, CNRS)
Isabelle Arvers – artiste, commissaire indépendante, Marseille
Camille Boichot – géographe, Géographie-Cités (UMR 8504), CNRS, Paris
Myriam Boyer – designer graphique, photographe, Aix en Provence
Thomas Cantens – anthropologue, Centre Norbert Elias (EHESS), Marseille, douanier, directeur de l’unité de recherche de l’Organisation Mondiale des Douanes, Bruxelles
Jean-Paul Fourmentraux, sciences de l’art, sociologie et communication, Centre Norbert Elias, EHESS, Aix Marseille Université
Thierry Fournier – artiste et commissaire d’exposition indépendant, direction artistique et design des sites antiatlas.net et antiatlas-journal.net
Anna Guillo, arts plastiques et sciences de l’art, Laboratoire d’Etudes en Sciences des Arts (LESA, EA 3274), Aix Marseille Université
Federica Infantino – politiste, Université Libre de Bruxelles
Clémence Lehec – docteure en géographie, chercheure associée à l’Université de Genève et l’Université Grenoble-Alpes, Laboratoire Pacte (UMR5194, Université Grenoble Alpes, CNRS)
Nicola Mai – vidéaste, anthropologue, Professeur de sociologie et d’études des migration, Kingston University, Royaume Uni
Sarah Mekdjian – géographe, Laboratoire Pacte (UMR5194, Université Grenoble Alpes, CNRS)
Joana Moll – artiste media, Barcelone
Paul Emmanuel Odin – critique, La compagnie, Marseille
Laurence Pillant – géographe, TELEMME, CNRS, Aix Marseille Université
Gabriel Popescu – géographe, Indiana University, Southbend
Antoine Vion – sociologue, économiste, Laboratoire d’Économie et de Sociologie du Travail (LEST- AMU/CNRS), Aix-Marseille Université
antiAtlas-Journal.net
Thierry Fournier a également conçu le site antiAtlas Journal, la revue du collectif antiAtlas, réalisée en 2016 avec Papascript. www.antiatlas.net et www.antiatlas-journal.net proposent ainsi un dyptique consacré aux mêmes enjeux, l’un pour l’activité du collectif et l’autre pour ses publications. Leurs designs sont voisins tout en proposant des formes éditoriales spécifiques à leurs contenus.
antiAtlas Journal est une revue numérique annuelle, bilingue et gratuite qui ouvre un espace éditorial exploratoire dédié à une approche radicalement transdisciplinaire des frontières contemporaines. Prolongeant le projet antiAtlas des frontières, reposant sur une collaboration entre chercheurs et artistes, la revue expérimente de nouvelles pratiques d’édition et de modélisation de la recherche. Elle est consultable sur le web (tous formats). Les articles sont téléchargeables librement en PDF.
En ouvrant des voisinages et des circulations multiples entre textes et images, antiAtlas Journal autorise ainsi des parcours transversaux et des échelles variables de perception, qu’une organisation linéaire ne permettrait pas – bien qu’elle soit toujours disponible par la version PDF. Certaines très grandes images débordent largement des écrans : la circulation d’image en image devient un des récits possible, au même titre que la circulation dans le texte.